La presse suisse

3 novembre 2020, Une fondation genevoise rachète «Le Temps»

Le journal romand, qui a fêté son 20e anniversaire il y a deux ans, passe sous le giron de la fondation genevoise Aventinus. 

L’annonce de la revente du journal quotidien par le groupe Ringier Axel Springer était attendue depuis le début du mois d’octobre.

31 mars 2021 , Réponse de Reinfocovid au Temps


Sachez que nous ne gravitons pas dans le secteur de la santé. Une grande partie des membres des collectifs dédiés à l’écriture des articles scientifiques sont des médecins et des universitaires (maitres de conférence et professeurs des universités françaises) qui ne gravitent pas. Ils sont au coeur même de la Santé.

« Intox »

Une fois de plus vous vous permettez de qualifier notre travail d’intox : nous vous redemandons de spécifier quelles sont les informations que vous tenez comme telles. Nous nous ferons un plaisir d’y apporter notre réponse scientifique. Faute de quoi vous tomber sous le coup de la diffamation. Les journalistes doivent prendre garde à ce qu’ils écrivent et pensent pouvoir signifier impunément.

Le Temps

Le groupe alémanique Ringier se sépare du journal. Il est repris par un consortium de fondations emmené par Hans-Wilsdorf.
Par : Pierre-Alexandre Sallier

Le transfert prendra effet le 1er janvier prochain. La rédaction reviendra à Genève d’ici à l’été prochain, après avoir été localisée six ans à Lausanne.

Consortium de mécènes

Aventinus est elle-même appuyée financièrement par de puissants mécènes emmenés par Hans-Wilsdorf, la richissime fondation du groupe Rolex. À ses côtés, on trouve notamment les fondations vaudoises Jan Michalski et Leenards.

«Nous allons pouvoir assurer à ce titre un avenir économique à long terme»

François Longchamp, président de la fondation Aventinus
Présidée par l’ancien homme politique François Longchamp, cette structure a été créée il y a un an pour «soutenir l’existence des médias» en Suisse romande. Elle a notamment épaulé le site d’information Heidi News, dont elle annonce être en train négocier le rachat de la totalité des parts, une absorption qui devrait être finalisée d’ici au printemps prochain. 

Ces prochaines semaines, la fondation en outre se chargera de nommer le nouveau conseil d’administration du «Temps» qui sera composé de cinq à six membres, sous la présidence d’Eric Hoesli.

Edition Papier 

Suisse Verbier, Autriche Ischgl, le"système: même combat !"

Valais : Nouvelliste 24.03.2020
«Isoler les foyers n’est pas une solution»
Dans son argumentaire, le canton appuie: il existe en Suisse plusieurs foyers épidémiques. «Les isoler n’est pas une solution pour limiter la propagation de l’épidémie. La mesure ne fait pas de sens pour protéger toute la population, nous avons analysé sa nécessité avec l’OFSP», déclare Esther Waeber-Kalbermatten.
La ministre cantonale de la santé ajoute qu’un éventuel confinement ne devrait pas être réévalué à l’avenir. 
Quelle est la solution? Pour le canton comme pour la Confédération, elle réside, toujours, dans le respect des normes d’hygiène et de distance sociale.
Le confinement volontaire, la dernière route à prendre? 

Résultat :
Les cas positifs, la «pointe de l’iceberg»

«Avec les derniers résultats qui doivent tomber, nous atteindrons très probablement une soixantaine de tests positifs pour la région», illustre Sabine Popescu. Quand on sait que seules les personnes à risque passent par le frottis, ces cas positifs ne seraient que la «pointe de l’iceberg».

«Nous avons eu par exemple un chalet où une personne était officiellement positive, mais sept autres habitants étaient aussi malades», ajoute la doctoresse.

Corinne Cohen, médecin généraliste à Sembrancher, martèle aussi: «Une quantité phénoménale de personnes de la vallée présentent des symptômes typiques du Covid-19.» 

Autriche : Le Monde 16.03.2020
Les autorités autrichiennes ont commencé à se douter du problème quand un serveur de 36 ans a été détecté positif au Covid-19, le 7 mars. Dans la foulée, elles décident de mettre en quarantaine vingt-deux personnes de son entourage proche, mais assurent qu’il n’y a pas besoin d’en faire davantage. « Une transmission du virus aux clients du bar est assez peu probable d’un point de vue médical. Il n’y a pas de raison de s’inquiéter », affirme notamment Anita Luckner-Hornischer, du département de la santé du Tyrol, le 8 mars
Rien ne se révélera plus faux.
Contamination généralisée

Résultat :
Le 9 mars, une quinzaine de personnes de l’entourage du serveur sont testées positives. La suspicion se fait plus pressante, alors que le Danemark déclare le Tyrol zone à risque. Les touristes qui rentrent d’Ischgl ramènent le virus en Norvège et en Suède. Le journal «Le Monde» indique que, selon les estimations officielles, près de la moitié des 907 cas positifs en Norvège, un tiers des 785 cas du Danemark et un cas sur six en Suède sont ainsi des touristes revenus des stations de ski du Tyrol, en priorité d’Ischgl. En Allemagne, des cas sont recensés dans le Bade-Wurtemberg et à Hambourg. L’Institut Robert Koch, responsable du contrôle et de la lutte contre les maladies, met le 13mars la station de ski autrichienne sur sa liste rouge.